qui n'a jamais tremblé, rêvé ou ri au récit de ces aventures pleines de fantaisie et de sagesse ? la belle au bois dormant, le petit poucet, riquet à la houppe, trois siècles après leur première publication, continent de fasciner les enfants car leurs invariants et les mythologies dont ils s'inspirent sont universels.
Un classique incontournable et modernisé par l'illustration mais fidèle au texte original, qui enchantera enfants, parents et grand-parents !
Un recueil qui rassemble 4 contes de princesses: La Belle au bois dormant et Cendrillon par Charles Perrault, ainsi que Blanche-Neige et Raiponce par les frères Grimm.
« Enfant j'ai toujours cru que Cendrillon portait des chaussures très fragiles et très douloureuses pour les pieds. Evidemment, plus tard, je me suis rendu compte de mon erreur. Cendrillon porte des pantoufles de vair, et non de verre : vair, fourrure gris argenté. Mais cela, c'est aussi la magie des contes. Tous les ingrédients sont présents, une fée, trois rats, six lézards et bien sûr une citrouille. Quant à l'illustration, j'ai cherché la simplicité : j'ai voulu donner un joli visage à la gentille Cendrillon, presque naïf. Ses deux soeurs ne sont pas si malignes, mais ça vous l'aviez compris...»
« Quand j'étais petite fille, j'ai lu le Petit Poucet en allemand. Ce conte me paraît maintenant très différent. Est-ce la langue française, ou bien les années qui ont passé ? Comment vais-je faire pour donner vie à tous ces personnages ? L'ogre, gros, brutal, repoussant, mais aussi, niais et vulnérable. Le Petit Poucet, vif, agile, intelligent, qui va jusqu'à retourner la force de l'ogre contre lui-même ? Comment les sept frères peuvent-ils retourner vivre chez leurs parents après tout ce qu'ils leur ont fait subir ? Je prends mes pinceaux, mes couleurs et me lance à la poursuite de ce monde cruel, cherchant à répondre à toutes ces questions. » Katja Gehrmann
« La Belle au bois dormant est un conte que j'ai redécouvert en l'illustrant. Je n'avais jamais réalisé à quel point les deux personnages de femmes qui entourent la jolie princesse étaient redoutables. La mère du jeune prince charmant est même anthropophage ! Ca met un peu de piquant à cette histoire d'amour... qui finit bien. Bien sûr, sous mes pinceaux se sont glissées ici et là un chat, un chien, une chauve-souris... et un raton laveur !» Anne Wilsdorf