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Thomas Gornet
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Lui, il s'appelle Ilyes, il a 9 ans et un gros problème. Les adultes parlent "d'addiction aux écrans". Surtout les écrans de téléphones, de tablettes, d'ordis ou de télés. Bref TOUS les écrans. Pour qu'Ilyes réapprenne à "sociabiliser" direction le psy et plus d'écrans jusqu'à nouvel ordre ! Et s'il veut un jour retrouver son iPhone chéri doudou, cela se fera à une seule condition : se faire un copain et l'inviter à dormir chez lui... Ilyes n'a plus le choix, il doit à tout prix se faire un ami ! Et... tiens... pourquoi pas une amie ?
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Qui est donc Vincent ? Il ne le sait pas lui-même. Comme tant d'autres ados, il a du mal à trouver sa place parmi les autres collégiens et à comprendre ses émotions. Notamment quand débarque un nouveau, Cédric, un sportif, lui. Il va lui falloir une année de 3e pour prendre conscience de son homosexualité. Ce bref roman touche par sa profondeur, son humour, sa finesse, en évitant tous les clichés. Nouvelle version d'un roman paru en 2006 à L'Ecole des Loisirs. Adapté au théâtre en 2018, nombreuses représentations en milieu scolaire.
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Quest-ce quil sest donc passé dans la famille de ce collégien, pour quil passe son dimanche après-midi en visite au cimetière avec ses parents ? Chapitre après chapitre, on va découvrir chaque jour de la semaine qui a précédé, remonter donc le temps et, comme dans une enquête criminelle, relever un à un les indices. Même si ce court roman nous parle de la disparition douloureuse dun proche, cest un roman dabord sur le quotidien dun jeune collégien, ses pensées, ses potes, le collège. Premier roman pour ados de Thomas Gornet, au ton très réussi, drôle souvent en dépit du sujet. Et c'est aussi une performance d'écriture, d'écrire ainsi en remontant le temps !
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Zouz n'est pas gros, il a une légère surcharge pondérale... et il n'aime pas le sport. Sa maman n'est pas de cet avis et ne lui demande pas d'aimer mais d'en faire. Un point, c'est tout. D'ailleurs, il va aller au club de foot, mercredi prochain. Mais le foot, Zouz n'y comprend rien et n'arrête pas de courir dans tous les sens. Bref, ce n'est pas pour lui, alors le mercredi suivant, sa mère le traîne au handball. Les filles sont en survêtement rose et les garçons en bleu, l'entraîneuse, Heïdi, a avalé un mégaphone et passe son temps à leur hurler dessus. Non, décidément, le hand, c'est pas son truc non plus, alors sa mère propose le club d'aérobic. La prof est sympa mais quand Zouz se met à danser, les autres éclatent de rire. C'est la goutte d'eau qui fait déborder le vase et Zouz fond en larmes. Le soir dans son lit, Zouz a peur de voir ce que sa mère lui a préparé pour le mercredi suivant. De l'haltérophilie, de la boxe thaïlandaise ? Pas du tout : il se retrouve avec d'autres enfants à faire des exercices un peu farfelus, à parler, à mimer puis à devoir monter sur scène et raconter un truc, ce qu'il veut, ce qui lui passe par la tête. Zouz comprend que tout ça, ce n'est pas du sport mais...du théâtre et il aime ça !
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Zouz n'aime pas le sport. Vraiment pas ! Mais sa mère ne veut rien entendre. Mercredi prochain, il ira au foot ou au hand. Ou à la gym. Et pourquoi pas la boxe thaï ? Mercredi après mercredi, Zouz se demande ce que sa mère va encore inventer. Peut-être une bonne surprise ?
Un roman écrit par Thomas Gornet et illustré par Clothilde Delacroix qui parle avec humour des activités du mercredi après-midi et des garçons qui ont le droit de ne pas aimer le sport ! -
Le jour du slip ; je porte la culotte
Anne Percin, Thomas Gornet
- Rouergue
- Boomerang
- 15 Mars 2013
- 9782812604966
Premier "boomerang" à quatre mains, Le jour du slip et Je porte la culotte nous permet de nous glisser dans la peau d'un(e) autre. Dans le texte d'Anne Percin (Le jour du slip), Corinne se réveille affublée d'un zizi et s'aperçoit que tout le monde l'appelle Corentin et a l'air de trouver cela normal... Tandis que Thomas Gornet nous raconte dans Je porte la culotte, l'effet que ça fait de se retrouver dans la vie de Corinne quand on croit être Corentin ! La journée incroyablement drôle de deux enfants qui se retrouvent projetés dans le genre opposé, à l'âge où les identités masculines et féminines s'affirment, dans la cour de l'école mais aussi dans les attitudes des adultes !
Deux récits hilarants qui jouent à fond le jeu du "recto-verso" et qui posent finement la question des relations entre filles et garçons.
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Comment on sait quand on est amoureux oe
Kaï se sent tout bizarre depuis que Sidonie lui a donné une lettre pendant la récré. Quand il la voit, il a une drôle de sensation dans le ventre, comme s'il avait mangé trop de tomates. Et quand il ne la voit pas, il pense à elle. C'est ça être amoureuxoe Pour en avoir le coeur net, Kaï aimerait trouver quelqu'un à qui se confier. Mais son copain Obeid a l'air de s'en moquer ; son père, qui n'a jamais été un grand bavard, préfère raconter des blagues et Tom, son tonton - et son meilleur ami sauf que c'est un adulte -, ne le prend pas au sérieux. Kaï se dit pourtant que c'est le moment d'être grand. Il a dix ans, une furieuse envie de pleurer, de sortir tout ce qu'il a dans la tête et de vivre très fort, enfin.
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Kaï a pris une décision qui va changer sa vie : il ne veut plus de bisous. À 9 ans, il n'est plus un bébé ! Le jour de son anniversaire, il évite donc soigneusement les embrassades et annonce avec aplomb sa décision. Ses parents sont abasourdis mais Kaï se sent beaucoup mieux :il se sent plus vieux ! Quand ses parents le regardent d'un air triste parce qu'ils ne peuvent l'embrasser avant le coucher, il a même l'impression que c'est lui l'adulte et qu'ils sont les enfants.
Jusqu'au jour où il rencontre Pascal, le nouveau. Pourquoi pleure-t-il si souvent ? Kaï voudrait l'aider et se pose des tas de questions. Comment consoler un ami ? Comment montrer à quelqu'un qu'il est important pour nous ? Et à quoi ça sert, les bisous ?
Le récit drôle et émouvant d'une amitié naissante.
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Il paraît que la sixième fait grandir. Il paraît. Eh bien non. Je peux le certifier : aujourd'hui, 4 septembre, jour de mon entrée en sixième, rien n'a changé. J'ai toujours la même tête, un peu carrée avec l'oreille droite légèrement décollée. J'habite toujours tout seul avec mon très grand frère Kaï qui s'occupe de moi depuis que maman a disparu. Et surtout, j'ai toujours ce petit truc à l'intérieur de moi. Une sorte de petit animal qui me grignote le coeur, qui se balade dans mes intestins depuis six mois. Quelque chose qui fait que j'ai « une tête de déterré », d'après Kaï. La tête du type qui a été amoureux et qui ne le sera plus jamais. Jamais. Non, ce n'est pas la sixième qui fait grandir. C'est le chagrin.