Alex est tout attendri par sa demi-soeur qui s'apprête à faire ses premiers pas. Il aimerait que son père partage sa joie, son émotion devant Lili. Il rêve d'un monde parfait où tout le monde s'aimerait...
Notons que ce texte est écrit en alexandrins, tout comme le titre.
C'est les vacances, mais rien ne se passe comme prévu pour Adrien. Sans doute à cause d'une dispute entre ses parents dont il a entendu les échos un soir. Direction la campagne avec maman, chez une de ses amies. À propos de papa, silence radio, rien à dire, il faut attendre. Oui mais attendre quoi ? Alors, Adrien prend le taureau par les cornes : il fugue, fait du stop au petit matin. Il est pris en charge sur le porte-bagages de la Mobylette bleue de Joël. En un instant, ce personnage un peu déjanté a compris la détresse du garçon. Direction la maison... Retrouvailles, explications entre les parents. Et si rien n'est vraiment réglé pour la famille, au moins Adrien passera-t-il la moitié des vacances avec son père, l'autre moitié avec sa mère. Suffisait de prévenir...