Avant, Gabriel faisait les quatre cents coups avec ses copains dans leur coin de paradis. Et puis l'harmonie familiale s'est disloquée en même temps que son « petit pays », le Burundi, ce bout d'Afrique centrale brutalement malmené par l'Histoire.
Plus tard, Gabriel fait revivre un monde à jamais perdu. Les battements de coeur et les souffles coupés, les pensées profondes et les rires déployés, le parfum de citronnelle, les termites les jours d'orage, les jacarandas en fleur... L'enfance, son infinie douceur, ses douleurs qui ne nous quittent jamais.
Inde. Smita est une Intouchable. Elle rêve de voir sa fille échapper à sa condition misérable et entrer à l'école.
Sicile. Giulia travaille dans l'atelier de son père. Lorsqu'il est victime d'un accident, elle découvre que l'entreprise familiale est ruinée.
Canada. Sarah, avocate réputée, va être promue à la tête de son cabinet quand elle apprend qu'elle est gravement malade.
Liées sans le savoir par ce qu'elles ont de plus intime et de plus singulier, Smita, Giulia et Sarah refusent le sort qui leur est réservé et décident de se battre. Vibrantes d'humanité, leurs histoires tissent une tresse d'espoir et de solidarité.
Trois femmes, trois vies, trois continents. Une même soif de liberté.
Difficile de ne pas être touché par ce très joli récit. Estelle Lenartowicz, Lire.
Laetitia Colombani maîtrise à l'évidence l'art de la narration. Florence Bouchy, Le Monde des livres.
Un roman dans lequel il y a tout. François Busnel, La Grande Librairie.
Prix Relay des voyageurs.
Ils ont miraculeusement survécu au carnage de la Grande Guerre, aux horreurs des tranchées. Albert, un employé modeste qui a tout perdu, et Edouard, un artiste flamboyant devenu une « gueule cassée », comprennent vite pourtant que leur pays ne veut plus d'eux. Désarmés, condamnés à l'exclusion, mais refusant de céder au découragement et à l'amertume, les deux hommes que le destin a réunis imaginent alors une escroquerie d'une audace inouïe... Fresque d'une rare cruauté, remarquable par son architecture et sa puissance d'évocation, Au revoir là-haut est le grand roman de l'après-guerre de 14, de l'illusion de l'armistice, de l'État qui glorifie ses disparus et se débarrasse de vivants trop encombrants. Dans l'atmosphère crépusculaire des lendemains qui déchantent, peuplée de misérables pantins et de lâches reçus en héros, Pierre Lemaitre compose avec talent la grande tragédie de cette génération perdue.Prix Goncourt 2013
Petitesannonces.fr : Jeune homme de 26 ans, condamné à une espérance de vie de deux ans par un Alzheimer précoce, souhaite prendre le large pour un ultime voyage. Recherche compagnon(ne) pour partager avec moi ce dernier périple.
Émile a décidé de fuir l'hôpital, la compassion de sa famille et de ses amis. À son propre étonnement, il reçoit une réponse à cette annonce. Trois jours plus tard, devant le camping-car acheté secrètement, il retrouve Joanne, une jeune femme coiffée d'un grand chapeau noir qui a pour seul bagage un sac à dos, et qui ne donne aucune explication sur sa présence.
Ainsi commence un voyage stupéfiant de beauté. À chaque détour de ce périple naissent, à travers la rencontre avec les autres et la découverte de soi, la joie, la peur, l'amitié, l'amour qui peu à peu percent la carapace de douleurs d'Émile.Un livre aux dialogues impeccables et aux personnages touchants d'humanité. Psychologies magazine.Bouleversant. Version femina.
PRIX ALAIN-FOURNIER 2020
On retrouve Vernon, toujours SDF, et mal en point. L'ancien disquaire est déconnecté du monde réel, sans ambition ni projets. Il apprend à vivre dans la rue, au côté de Charles, un poivrot collant. Les anciens amis de Vernon continue de le traquer comme il possède l'interview inédite du rockeur Alex Bleach, enregistrée peu avant sa mort...
Une formidable suite après un premier tome salué par une presse unanime et plusieurs fois primé.
Un livre de combat porté tout à la fois par une capacité d'indignation inentamée et une empathie époustouflante - et tout sauf aimable. Nathalie Crom, Télérama.
Virginie Despentes dévoile sans complaisance notre temps en nous offrant un antidote possible. Un véritable écrivain - libre, unique, corrosive. Nelly Kaprièlian, Les Inrockuptibles.
On peut faire tourner Vernon Subutex entre ses doigts comme une pierre précieuse changeant de couleur à la lumière du jour. Marie-Laure Delorme, Le Journal du dimanche.
Un dernier volume encore plus explosif que les précédents. Nelly Kaprièlian, Les Inrockuptibles.
Le constat est d'une âpreté inouïe, dans laquelle pourtant ne se dissout pas l'humanisme tenace et rageur qu'on sent pulser dans chaque page, chaque phrase. Nathalie Crom, Télérama.
La manière qu'a Despentes de dépeindre ses personnages et de les ancrer dans le réel captive. Emma Dubois, Les Échos.
Trois tomes addictifs et intelligents. Drôlerie, sens de la formule et collision des niveaux de langage se mêlent pour rendre Vernon irrésistible. Raphaëlle Leyris, Le Monde des livres.
L'une des fresques les plus marquantes de ce début de XXIe siècle. Marianne Pavot, L'Express.
Winston Smith a trente-neuf ans et travaille pour le Parti, au ministère de la Vérité. Ses tâches ? Réécrire les archives pour que le passé corresponde à la version dictée par le gouvernement. Winston est doué, mais sa conscience commence lentement à lui peser. Il a de plus en plus de mal à croire aux mensonges du monde qui l'entoure, et il décide de se rebeller. D'abord, il se met à écrire un journal, puis il se rapproche de Julia. Mais la Police de la Pensée est toujours plus près qu'il n'y paraît, et la surveillance plus étroite.
J'écris de chez les moches, pour les moches, les frigides, les mal baisées, les imbaisables, toutes les exclues du grand marché à la bonne meuf, aussi bien que pour les hommes qui n'ont pas envie d'être protecteurs, ceux qui voudraient l'être mais ne savent pas s'y prendre, ceux qui ne sont pas ambitieux, ni compétitifs, ni bien membrés.
Parce que l'idéal de la femme blanche séduisante qu'on nous brandit tout le temps sous le nez, je crois bien qu'il n'existe pas.
V.D.
En racontant pour la première fois comment elle est devenue Virginie Despentes, l'auteur de Baise-moi conteste les discours bien-pensants sur le viol, la prostitution, la pornographie. Manifeste pour un nouveau féminisme.
Paulo Coelho L'Alchimiste Pour des millions de lecteurs dans le monde, ce livre a été une révélation : la clef d'une quête spirituelle que chacun de nous peut entreprendre, l'invitation à suivre son rêve pour y trouver sa vérité.
L'histoire est celle de Santiago, jeune berger andalou parti à la recherche d'un trésor enfoui au pied des pyramides. Dans le désert, initié par l'alchimiste, il apprendra à écouter son coeur et à déchiffrer les signes du destin.
Merveilleux conte philosophique, souvent comparé aux classiques du genre - Le Petit Prince, Jonathan Living-stone le goéland -, ce livre, devenu un best-seller international, a valu en France le Grand Prix des lecteurs de Elle à l'auteur du Pèlerin de Compostelle et de La Cinquième Montagne.
Anne Frank est née le 12 juin 1929 à Francfort. Sa famille a émigré aux Pays-Bas en 1933. À Amsterdam, elle connaît une enfance heureuse jusqu'en 1942, malgré la guerre. Le 6 juillet 1942, les Frank s'installent clandestinement dans «l'Annexe» de l'immeuble du 263, Prinsengracht. Le 4 août 1944, ils sont arrêtés sur dénonciation. Déportée à Auschwitz, puis à Bergen-Belsen, Anne meurt du typhus en février ou mars 1945, peu après sa soeur Margot. La jeune fille a tenu son journal du 12 juin 1942 au 1er août 1944, et son témoignage, connu dans le monde entier, reste l'un des plus émouvants sur la vie quotidienne d'une famille juive sous le joug nazi. Cette édition comporte des pages inédites.
Souvent les enfants s'inventent une famille, une autre origine, d'autres parents.
Le narrateur de ce livre, lui, s'est inventé un frère. Un frère aîné, plus beau, plus fort, qu'il évoque devant les copains de vacances, les étrangers, ceux qui ne vérifieront pas. Et puis un jour, il découvre la vérité, impressionnante, terrifiante presque. Et c'est alors toute une histoire familiale, lourde, complexe, qu'il lui incombe de reconstituer. Une histoire tragique qui le ramène aux temps de l'Holocauste, et des millions de disparus sur qui s'est abattue une chape de silence.
Psychanalyste, Philippe Grimbert est venu au roman avec La Petite Robe de Paul. Avec ce nouveau livre, couronné en 2004 par le prix Goncourt des lycéens et en 2005 par le Grand Prix littéraire des lectrices de Elle, il démontre avec autant de rigueur que d'émotion combien les puissances du roman peuvent aller loin dans l'exploration des secrets à l'oeuvre dans nos vies.
Patrick Süskind Le Parfum Au xviiie siècle vécut en France un homme qui compta parmi les personnages les plus géniaux et les plus horribles de son époque. Il s'appelait Jean-Baptiste Grenouille. Sa naissance, son enfance furent épouvantables et tout autre que lui n'aurait pas survécu. Mais Grenouille n'avait besoin que d'un minimum de nourriture et de vêtements, et son âme n'avait besoin de rien.
Or ce monstre de Grenouille, car il s'agissait bel et bien d'un genre de monstre, avait un don, ou plutôt un nez unique au monde et il entendait bien devenir, même par les moyens les plus atroces, le Dieu tout-puissant de l'univers, car « qui maîtrisait les odeurs, maîtrisait le coeur des hommes ».
C'est son histoire, abominable... et drolatique, qui nous est racontée dans Le Parfum, un roman qui, dès sa parution, eut un succès extraordinaire et est devenu très vite un best-seller mondial.
A vue de nez, un chef-d'oeuvre.
Bernard Pivot.
Ici, chaque page sent, on n'a jamais lu ça. Odeur de ßeurs, de tourbe ou de sanie, tout est mêlé, avec une extraordinaire virtuosité...
Sylvie Genevoix, Madame Figaro.
À la Ferme du Manoir, les animaux en ont assez d'être maltraités. Major l'ancien, leur doyen, leur a ouvert les yeux sur la tyrannie de l'Homme. Il faut faire la révolution ! Une fois le fermier banni, les animaux décident de ne plus se laisser commander. Pour veiller à cela, sept règles sont édictées et rédigées par les cochons. La dernière est claire : Tous les animaux sont égaux. Mais le temps passe, et les commandements changent, un par un. Jusqu'à ce qu'on puisse lire : Tous les animaux sont égaux, mais certains le sont plus que d'autres.
Lou Bertignac a 13 ans, un QI de 160 et des questions plein la tête. Les yeux grand ouverts, elle observe les gens, collectionne les mots, se livre à des expériences domestiques et dévore les encyclopédies.
Enfant unique d'une famille en déséquilibre, entre une mère brisée et un père champion de la bonne humeur feinte, dans l'obscurité d'un appartement dont les rideaux restent tirés, Lou invente des théories pour apprivoiser le monde. A la gare d'Austerlitz, elle rencontre No, une jeune fille SDF à peine plus âgée qu'elle.
No, son visage fatigué, ses vêtements sales, son silence. No, privée d'amour, rebelle, sauvage.
No dont l'errance et la solitude questionnent le monde.
Des hommes et des femmes dorment dans la rue, font la queue pour un repas chaud, marchent pour ne pas mourir de froid. « Les choses sont ce qu'elles sont ». Voilà ce dont il faudrait se contenter pour expliquer la violence qui nous entoure. Ce qu'il faudrait admettre. Mais Lou voudrait que les choses soient autrement. Que la terre change de sens, que la réalité ressemble aux affiches du métro, que chacun trouve sa place. Alors elle décide de sauver No, de lui donner un toit, une famille, se lance dans une expérience de grande envergure menée contre le destin. Envers et contre tous.
Amélie Nothomb Stupeur et tremblements Au début des années 90, la narratrice est embauchée par Yumimoto, une puissante firme japonaise. Elle va découvrir à ses dépens l'implacable rigueur de l'autorité d'entreprise, en même temps que les codes de conduite, incompréhensibles au profane, qui gouvernent la vie sociale au pays du Soleil levant.
D'erreurs en maladresses et en échecs, commence alors pour elle, comme dans un mauvais rêve, la descente inexorable dans les degrés de la hiérarchie, jusqu'au rang de surveillante des toilettes, celui de l'humiliation dernière. Une course absurde vers l'abîme - image de la vie -, où l'humour percutant d'Amélie Nothomb fait mouche à chaque ligne.
Entre le rire et l'angoisse, cette satire des nouveaux despotismes aux échos kafkaïens a conquis un immense public et valu à l'auteur d'Hygiène de l'assassin le Grand Prix du roman de l'Académie française en 1999.
Réfugiée dans une maison isolée en Auvergne pour y vivre pleinement son chagrin, Amande ne pensait pas que l'on pouvait avoir si mal. Les jours se suivent et dehors le soleil brille, mais, recluse, elle refuse de le voir. Lorsqu'elle tombe par hasard sur les calendriers horticoles de l'ancienne propriétaire des lieux, elle décide pourtant, guidée par les annotations manuscrites de Madame Hugues, d'essayer de redonner vie au vieux jardin abandonné. Au fil des saisons, elle va puiser dans ce contact avec la terre la force de renaître et de s'ouvrir à des rencontres uniques. Jusqu'à ce que chaque lendemain redevienne, enfin, une promesse d'avenir.Un roman subtil et plein d'émotion qui nous invite à ouvrir grand nos yeux, nos sens et notre coeur, et un formidable hymne à la nature qui nous réconcilie avec la vie.
Qui est cet inconnu capable d'en remontrer au grand Czentovic, le champion mondial des échecs, véritable prodige aussi fruste qu'antipathique ? Peut-on croire, comme il l'affirme, qu'il n'a pas joué depuis plus de vingt ans ? Voilà un mystère que les passagers oisifs de ce paquebot de luxe aimeraient bien percer. Le narrateur y parviendra. Les circonstances dans lesquelles l'inconnu a acquis cette science sont terribles.
Elles nous reportent aux expérimentations nazies sur les effets de l'isolement absolu, lorsque, aux frontières de la folie, entre deux interrogatoires, le cerveau humain parvient à déployer ses facultés les plus étranges. Une fable inquiétante, fantastique, qui, comme le dit le personnage avec une ironie douloureuse, pourrait servir d'illustration à la charmante époque où nous vivons.
« Encore aujourd'hui, il m'est difficile d'expliquer comment notre relation s'est développée si rapidement, et de quelle manière L. a pu, en l'espace de quelques mois, occuper une place dans ma vie.
L. exerçait sur moi une véritable fascination.
L. m'étonnait, m'amusait, m'intriguait. M'intimidait. (...) L. exerçait sur moi une douce emprise, intime et troublante, dont j'ignorais la cause et la portée. » D. de V.
Une autofiction prenant progressivement des allures de thriller, explorant l'ambivalence entre la fidélité aux faits et l'invention, dans une atmosphère oppressante. Raphaëlle Leyris, Le Monde des livres.
Delphine de Vigan joue de la porosité des frontières qui séparent le réel et la fiction avec une conviction qui donne par instants le vertige. Nathalie Crom, Télérama.
Une oeuvre d'une puissance émotionnelle infinie. Christine Ferniot, Lire.
Prix Renaudot Prix Goncourt des lycéens
LA PETITE FILLE DE MONSIEUR LINHC'est un vieil homme debout à l'arrière d'un bateau. Il serre dans ses bras une valise légère et un nouveau-né, plus léger encore que la valise. Le vieil homme se nomme Monsieur Linh. Il est seul désormais à savoir qu'il s'appelle ainsi. Debout à la poupe du bateau, il voit s'éloigner son pays, celui de ses ancêtres et de ses morts, tandis que dans ses bras l'enfant dort. Le pays s'éloigne, devient infiniment petit, et Monsieur Linh le regarde disparaître à l'horizon, pendant des heures, malgré le vent qui souffle et le chahute comme une marionnette. P. C.
Bilingue Série italienne dirigée par Christian Bec Les ouvrages de la collection bilingue vous proposent :
- des textes de grands auteurs étrangers ;
- une traduction fidèle et précise, sans être étroitement littérale ;
- une introduction critique permettant d'approfondir le sens des textes ;
- de nombreuses notes de caractère culturel, et des précisions linguistiques éclairant certains partis pris de traduction.
La collection bilingue permet ainsi au plus grand nombre d'accéder à une réelle compréhension des littératures et donc des cultures étrangères.
Le K Il Colombre Traduction de Jacqueline Remillet.
Introduction et notes de François Livi.
Un jour d'avril, ma fille de trois ans, Carrie, a disparu alors que nous jouions toutes les deux à cache-cache dans mon appartement de Brooklyn.
Ainsi débute le récit de Flora Conway, romancière renommée à la discrétion légendaire. La disparition de Carrie n'a aucune explication. L'enquête de police n'a rien donné. Au même moment, de l'autre côté de l'Atlantique, un écrivain au coeur broyé se terre dans une maison délabrée. Lui seul détient la clé du mystère. Et Flora va le débusquer. Une lecture à nulle autre pareille. En trois actes et deux coups de théâtre, Guillaume Musso nous immerge dans une histoire étourdissante qui puise sa force dans le pouvoir des livres et la rage de vivre de ses personnages.
« Guillaume Musso est un ensorceleur qui fait surgir l'impossible dans la vie de ses personnages au moment où l'on ne s'y attend pas. Captivant. » Anne Michelet, Version Femina « Un roman aussi vertigineux que dense, exercice de haut vol et d'illusionniste sur les interactions d'un auteur avec ses créatures. » Marianne Payot, L'Express « Un récit machiavélique et jubilatoire. Guillaume Musso signe ici un de ses romans les plus personnels. Un de ses meilleurs aussi. » Sandrine Bajos, Le Parisien « Musso nous embarque dans une succession de rebondissements et de fausses pistes pour conclure sur un coup de théâtre où l'on comprend qu'on a été berné du début à la fin. » Pascale Frey, Le Matin Dimanche « Guillaume Musso revient avec brio sur le métier d'écrire, l'inspiration, la vie réelle et imaginaire... La vie est un roman fait irrésistiblement penser à Romain Gary. » Alain Jean-Robert, AFP « Un labyrinthe à la manière du fi lm Inception. » Déborah Laurent, 7sur7 «Avec [ses] romans qui font des relations complexes entre fiction et réalité le ressort d'enquêtes criminelles, Musso joue à cache-cache avec la littérature et avec les lecteurs. » Pierre Lemaitre, Dictionnaire amoureux du polar
Joseph Joffo Un sac de billes Traduit en 18 langues, Un sac de billes, livre d'une exceptionnelle qualité, est un des plus grands succès de librairie de ces dix dernières années.
Un très beau livre, émouvant et fort...
Alphonse Boudard.
Ce livre qui est celui de la peur, de l'angoisse, de la souffrance aurait pu être aussi le livre de la haine, mais il est, en fin de compte, un cri d'espoir et d'amour.
Bernard Clavel.
Parmi les témoignages sans nombre consacrés aux temps maudits, celui-là est unique, par la nature de l'expérience, l'émotion, la gaieté, la douleur enfantine. Et conté de telle manière que l'aventure saisit, entraîne, porte le lecteur de page en page et jusqu'à la dernière ligne.
Joseph Kessel.
Une spontanéité, un humour, une tendresse, une émotion discrète qui en font un livre pas comme les autres.
La Croix.