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1) L'ascension du Fujiyama en 1874, par un jeune homme de vingt ans !
2) Le mont Fuji est l'âme du Japon, objet de vénération pour tous les Japonais. Alfred Houette en fait un portrait vivant avec l'enthousiasme de son jeune âge.
3) Comment se comporter au Japon, pays très fermé et intransigeant sur les règles, quand on est un étranger curieux et ambitieux...
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?Après Fès, Le Rajasthan, Angkor, Île de Pâques et Hué, un sixième titre de Pierre Loti, l'un des plus grands écrivains-voyageurs français, vient compléter la collection « Heureux qui comme... » ? Un regard sensible et singulier, sur une ville singulière et menacée, par un auteur qui ne se lasse jamais d'observer et de décrire, du détail d'un objet au regard panoramique. ? Cette escapade coréenne est une parenthèse asiatique dans l'Asie sino-japonaise de Loti ; elle introduit comme « une manière d'ailleurs de l'ailleurs, de lointain au-delà du lointain ; comme une forme d'exotisme au sein de l'exotisme extrême-oriental. » Les journées passées à Séoul sont d'abord publiées sous la forme de deux articles : « À Séoul. I - Dans la rue », paru dans Le Figaro du 10 mai 1903 ; puis, dans Le Figaro du 1er juin 1903, « À Séoul. II - À la Cour ». Le chapeau en tête du premier annonce l'exclusivité des « belles pages qu'on va lire, l'attachante vision, à la fois pittoresque, pleine de couleurs et de vie de ce coin d'Extrême-Orient ». Avec de très rares retouches et titré « À Séoul : dans la rue, à la Cour », ce reportage a formé le chapitre XL du récit-roman hybride La Troisième Jeunesse de Madame Prune, paru deux ans plus tard (Calmann-Lévy, 12 avril 1905). Bref et peu connu, il prend une place méritée aux côtés des témoignages documentés de visiteurs plus savants venus la même année en Corée, entre le classique Pauvre et douce Corée de Georges Ducrocq et les lignes ethnographiques d'un Louis Marin.
Extrait : « À la splendeur de juin, qui est là-bas rayonnante et limpide plus encore que chez nous, je me souviens de m'être posé pour quelques jours dans une maisonnette, à Séoul, devant le palais de l'empereur de Corée, juste en face de la grande porte. Dès l'aube - naturellement très hâtive à cette saison, - des sonneries de trompettes me réveillaient, et c'était la relève matinale de la garde : une longue parade militaire, où figuraient chaque fois un millier d'hommes. Les autres bruits de Séoul commençaient ensuite, dominés par le hennissement continuel des chevaux, - de ces petits chevaux coréens, ébouriffés et toujours en colère, qui se battent et qui mordent. »
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Birmanie, pays de paradoxes où l'autoritarisme côtoie la spiritualité. Les Birmans prient Bouddha avec une dévotion profonde et l'atmosphère en est imprégnée, refuge ou rempart contre les contraintes politiques et la misère. Lucide et patient, le peuple ne baisse pas la tête.
Subtilité, beauté et grâce s'offrent aux regards dans les gestes les plus simples : allure altière et teint d'ivoire des femmes birmanes, silhouettes graciles lourdement chargées de plateaux en équilibre sur la tête, costumes traditionnels aux broderies multicolores des ethnies montagnardes, regards pétillants des enfants rieurs aux pommettes enduites de thanaka et hommes aux longyi noués sur les hanches, mâchant du bétel, tous émouvants dans leur extrême gentillesse.
Contemplation devant les fines pirogues du lac Inlé suspendues dans un univers gris argenté sans limites où le ciel et l'eau se confondent quand le silence de l'aube invite à la méditation.
Emerveillement devant les délicats graphismes éphémères des reflets de maisons perchées sur des bambous telles des échassiers. Fascination exercée par les pagodes de Bagan dans la poussière d'or du couchant.
Impermanence des êtres et des choses où seuls les innombrables temples dégoulinants de feuilles d'or sont éternels ainsi que les prières montant des monastères. « Tout est souffrance, rien n'est durable, seul le Nirvâna nous arrachera au cercle vicieux de la vie ».
L'énoncé solennel de ces vérités bouddhiques au cours de l'ordination des moines régit l'attitude de tout un peuple. Répondant au visage apaisé du Bouddha, c'est peut-être ce qu'exprime l'inaltérable sourire des Birmans : le mystère de la sérénité.
Voyager en Birmanie, c'est voyager dans le temps. pour un temps encore ! Ce pays coupé du monde de longues années s'entrouvre enfin et change à toute allure.
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1) Un des premiers témoignages sur Ceylan (le Sri Lanka actuel) écrit en français, dans une langue magnifique.
2) Beaucoup d'humour dans les descriptions des comportements des colons anglais.
3) Un hymne à la liberté et à la profusion de la nature, ainsi qu'à la richesse des cités royales millénaires.
« Ceylan ! Nous débarquerons ce matin, après dix-sept jours de voyage. Impatient, j'arpente le pont encore bleu de la nuit suante. Un vent presque frais, annonciateur de l'aube, fait vaciller les larges étoiles et, une à une, souffle ces belles lampes inutiles. La lune s'altère comme un visage et, pâle, se dissout dans ses limbes..."
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Kumbh Melâ : le plus grand pèlerinage du monde
Marie Singeot
- Magellan & Cie
- 12 Novembre 2021
- 9782350745886
Marie Singeot, ethnologue, a vécu avec les sadhus pendant de longues années, partageant leur quotidien et leur renoncement au monde. Tous les trois ans, dans quatre endroits sacrés le long du Gange, ils se réunissent pour plusieurs semaines. En 2019, pour le dernier Kumbh Mela, ils étaient 130 millions !
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Le photographe anglais John Thomson (1837-1921) fut l'un des premiers photographes à parcourir la Chine. Installé à Hong-Kong depuis 1868, il attendit que sa femme enceinte et leur premier enfant regagnent l'Angleterre pour réaliser son rêve d'un grand voyage dans l'intérieur de la Chine. Après avoir visité la province du Fujian, il s'embarque pour Taïwan avec le missionnaire et médecin anglais James Maxwell qui s'y est déjà rendu plusieurs fois. Ils débarquent à Ta-kao début avril et rejoignent Thaï-Ouan, la capitale, avant de parcourir la plaine occidentale de Taïwan, de village en village, où le docteur Maxwell soigne les aborigènes. John Thomson rencontre et photographie les Pepohoans, une tribu à demi sinisée qui constitue la population indigène.
Extrait : « Plus nous avancions, plus le pays devenait impraticable, et plus les précipices devenaient larges et profonds. Quelques-uns formaient de véritables vallées, au fond desquelles nous trouvâmes des champs cultivés. Nous y observâmes aussi les traces des torrents qui, dans la saison des pluies, à travers les couches argileuses, s'ouvrent dans la montagne des passages souterrains, et offrent ainsi une sorte de drainage naturel à l'écoulement des eaux de la chaîne centrale. Ces torrents invisibles font de la culture dans cette région montagneuse une entreprise pleine de périls, car ils produisent des affaissements soudains du sol dans lesquels le cultivateur peut voir disparaître ses champs et sa demeure. »
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À sa manière, et de A pour Amour de l'Inde à Z pour Zanzibar, Sonia Privat revisite l'Inde d'aujourd'hui.
La magnifique palette de cette artiste rend hommage à la splendeur du pays. La foule de ses personnages parés de leurs plus belles couleurs et de leurs bijoux chatoyants est un régal pour l'oeil.
Grâce à elle, nous les suivons pas à pas dans leur quotidien, en ville, sur les marchés, à l'école, depuis les lieux les plus humbles jusqu'aux sites les plus sacrés, là où s'expriment la puissance incomparable d'un pays pas comme les autres.
Sonia Privat possède ce don inimitable de la proximité humaine.
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Mémoires de Thaïlande
Collectif
- Magellan & Cie
- Memoires D'institutions
- 11 Octobre 2013
- 9782350742724
Le royaume de Siam, depuis 1939 la Thaïlande, est resté un État libre et indépendant, parvenant à échapper, sinon à l'influence tout au moins au protectorat ou à la colonisation des puissances impériales qui l'entouraient de toutes parts, c'est-à-dire la France et la Grande-Bretagne présentes et militairement actives dans la région à partir de la seconde moitié du xixe siècle. Si cette situation toujours fièrement évoquée par les Thaïlandais n'a pas eu un grand impact sur l'oeil du photographe, elle a eu plus probablement un effet pervers sur l'archivage des documents argentiques qui ne furent pas toujours, comme c'est le cas dans les pays voisins, copiés et expédiés pour être publiés en Europe. Même modeste, la collection de l'EFEO est donc précieuse car le Siam n'a sauvegardé que peu de documents ayant pu résister aux atteintes du climat tropical. De ce fait les originaux sur support argentique ont été souvent endommagés quand ils n'ont pas disparu totalement. Un bon nombre des plus belles photos du début du xxe siècle, conservées en Thaïlande, ne sont connues que par des copies.
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Luang Prabang ; perle du Laos / Gem of Laos
Vincent Besançon, Francis Engelmann
- Magellan & Cie
- Coups De Crayon
- 19 Novembre 2014
- 9782350742977
Le site de Luang Prabang a été classé au patrimoine mondial de l'humanité par l'UNESCO en 1995. J'y suis venu à plusieurs reprises avec l'espoir d'y découvrir une belle architecture, mélange de traditions asiatiques et d'influences européennes apportées lors de la présence coloniale qui s'est exercée ici une cinquantaine d'années, à la fin du XIXe et au début du XXe siècles. J'ai eu l'agréable surprise d'y découvrir plus qu'une petite ville ancienne bien conservée, une ville vivante et accueillante dans un écrin de verdure.
Je suis architecte et je suis sensible aux formes, aux couleurs, aux lumières. J'aimerais vous faire partages dans les pages qui suivent mes émotions visuelles. Je connaissais déjà d'autres pays de la Péninsule indochinoise dont j'ai rapporté des croquis. Luang Prabang est un peu différente. Rien de grandiose et d'impressionnant, mais une harmonie magique que je voudrais vous faire goûter. Si vous connaissez déjà Luang Prabang, vous retrouverez avec moi, je l'espère, le bonheur que m'a procuré ce mélange unique de pagodes dorées et de maisons anciennes, de jardins, de mares, avec partout la gentillesse et la générosité de ses habitants vaquant à leurs occupations quotidiennes.
Je suis un homme des pinceaux et du crayon. J'ai demandé à Francis Engelmann qui vit à Luang Prabang depuis plus de dix ans de me prêter sa plume pour écrire quelques petits textes pour mieux situer mes dessins et mes aquarelles. Ayant travaillé avec passion à la conservation de ce patrimoine, je crois qu'il apporte à mes images, des précisions et des éléments de contexte intéressants.
Bonne promenade dans Luang Prabang !
Vincent Besançon Luang Prabang, Perle du Laos emmène son lecteur à la découverte d'une ville et de sa région, à traversune profusion d'images et de textes uniques. Ces aquarelles, hautes en couleur et en émotions témoignent de l'incroyable richesse naturelle et culturelle de ce site.
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Anne Bève, grande voyageuse éprise de liberté, ne s'est pas encore délivrée de la formidable emprise exercée par l'Inde. Ce pays à nul autre pareil, l'attachement des gens croisés en route, une culture multiple et millénaire qui laisse pantois, le foisonnement de la richesse humaine dans tous ses états, rien ici ne laisse indifférent. Certains fuient cet univers face à la crainte qui remet en cause les certitudes les mieux ancrées ; d'autres s'y frottent avec le doute chevillé à l'âme, mais prêts à l'acceptation. Anne Bève, par sa formation médicale et ses trente ans de pratique n'a pas peur de l'autre. Elle est apte au partage et au respect, y compris avec les plus pauvres. Les textes réunis ici, inspirés par ses nombreux voyages sur place, et ses photos au plus proche de la marge humaine, le prouvent avec simplicité. Apprendre à vivre libre, s'imprégner du divers et pouvoir en témoigner, est un chemin d'existence qui vaut d'être vécu.
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Mémoires du Laos
Michel Lorrillard
- Magellan & Cie
- Memoires D'institutions
- 17 Septembre 2015
- 9782350742823
Si le Laos trouve aujourd'hui avantage à être situé au centre géographique de l'Asie du Sud-Est continentale, le territoire qu'il couvre, en raison de son enclavement et de sa configuration physique compartimentée, est cependant resté longtemps une sorte d'« espace-tampon », une surface vaste mais très inégalement peuplée que les puissants États voisins renonçaient à occuper, préférant la maintenir en marge. En s'établissant à la fin du XIXe siècle dans les principautés laotiennes de la rive gauche du fleuve, l'autorité coloniale française perpétua en quelque sorte cette situation. Plus peut-être que par les ressources qu'elle mettait à sa disposition, la possession du Laos se justifia finalement par le souci de préserver sur le côté occidental du domaine indochinois un espace intermédiaire, dont la maîtrise stricte n'apparaissait pas comme une nécessité.
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Les marchands ambulants et les cris de la rue à Hanoi
Collectif
- Magellan & Cie
- Memoires D'institutions
- 16 Mars 2019
- 9782350745336
Dès le début du xxe siècle, les premiers chercheurs de l'EFEO ont pressenti le grand intérêt de la photographie. À la fois pour leurs recherches scientifiques mais aussi pour partager avec leurs familles en France un peu de leur quotidien « exotique », ils ont peu à peu constitué une incomparable mémoire par l'image. Ce sont quelques-uns de ces clichés qui sont mis en regard de ces dessins, instants de vie hanoienne saisis au vol avec talent. L'École française d'Extrême-Orient (EFEO) possède un très riche fonds d'archives, dont ce carnet de dessins pris sur le vif. Plein d'intérêt et de charme, nous avons souhaité le rééditer, comme un carnet de voyage dans le temps, présenté par Olivier Tessier.
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Quelque part entre ciel et terre, à la frontière entre Inde et Myanmar, le « Pays des Collines » semble n'avoir jamais existé. Longtemps interdit au tourisme, il évoque tout juste pour quelques privilégiés l'insaisissable peuple des Naga, coupeurs de têtes christianisés par des missionnaires américains du xixe siècle. Le Nagaland est pourtant l'un des vingt-neuf États de l'Union indienne, mais ses deux millions d'habitants, sans communauté ethnique, linguistique ou culturelle avec ses puissants voisins, se laissent facilement oublier.
Ce pays est un artifice, une invention, un mythe, une réalité hors limite, tardivement identifié et intégré par la Pax Britannica, puis par la Pax India, qui pouvaient difficilement laisser sans contrôle les périphéries de leur empire. Le Nagaland regroupe des groupes ethniques hétérogènes, qui n'ont guère en commun que leur passé de petit agriculteur-chasseur-cueilleur-guerrier, d'être de type physique « mongoloïde », et d'appartenir à la famille linguistique tibéto-birmane.
Yvan Travert, par ses splendides photographies en noir et blanc, et Ivana sa fille, par un texte de référence sur leur histoire et leur culture, donnent ensemble un sens aux visages des Lotha, des Konyak ou des Chakhesang croisés ici. Chacun d'eux nous rappelle une vérité qui nous échappe sans cesse : ici un guerrier mohican, des révolutionnaires péruviens ou quelque chamane sibérien, là une vieille Chinoise ou une délicate Javanaise. La peau est brune, blanche, dorée, tatouée. ou pas, les yeux sont ronds, fendus ou bridés. Les deux auteurs témoignent superbement de ce peuple oublié. Turbulent, vindicatif, courtois et joyeux, il est en train de s'inventer une modernité, sans vraiment quitter ses montagnes, et sans ignorer le reste du monde.
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Vies du Népal
Françoise Caillette-deneubourg
- Magellan & Cie
- Coups De Crayon
- 4 Novembre 2011
- 9782350742199
Petit pays de 147 000 km², le Népal possède une très grande variété de paysages et de régions.
De Katmandou, capitale du pays peu à peu menacée d'étouffement, à la chaîne de l'Himalaya, monde minéral de roc et de glace, les Népalais ont dû trouver leur place dans cette nature parfois hostile, où le travail, essentiel à la survie, ne leur fait pas oublier le sens de l'accueil. L'auteur est allée à la rencontre de ces habitants, de cette culture lors d'un voyage. Dans toutes les villes, villages, régions où elle est passée elle a su capter les émotions, les sentiments, la vie de ces Népalais et les restituer à travers ses aquarelles.
Et ce qu'elle nous raconte, c'est ce pays où la religion et la spiritualité sont omniprésentes, où chaque événement de la vie est l'objet de cérémonies, cette humanité visible sur chaque visage à travers les sourires, les regards malgré une vie parfois difficile.
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Le constat est simple : la couleur, en Inde, se retrouve partout.
Pas une scène de rue où ne figure un camion ou un bus abondamment décoré, un éclatant tissu brodé, un bijou délicatement ouvragé.
Les lieux de cultes également, tantôt monochromie (les superbes temples Jaïns), tantôt colorés (le temple de Minakshi Amman, à Maduraï), utilisent la couleur pour faire impression.
Originellement, les castes elles-mêmes étaient régies par un code couleur !
Et que dire de la cuisine ? Herbes, épices, aromates en tous genre font le plaisir des papilles aussi bien que des yeux.
À quand remonte cette relantion si particulière entre la couleur et le peuple indien ? Impossible de le dire. L'histoire de la couleur en Inde est certainement liée à celle de la religion : l'hindouisme présente en effet une multitude de divinités qui évoluent dans un monde onirique, merveilleux et mystique. Quelle meilleure inspiration pour un artiste peintre ? Mais comment être sûr ?
Aujourd'hui, c'est l'artisanat et l'industrie textile qui exportent le mieux cet héritage à l'internationnal.
Et pour cause : les Indiens ont toujours eu une longueur d'avance ! Filage, tissage, teinture et impression textile (sur soie, laine, coton.) n'ont plus de secrets depuis bien longtemps pour eux.
Et si la colonisation, puis l'industrialisation du pays ont bien failli faire tomber ces savoirs-faire dans l'oubli, aujourd'hui, l'Inde redécouvre son patrimoine. Elle se le réapproprie, l'adapte, le fait évoluer (on parle ici développement durable), et s'interroge sur son identité : entre tradition et modernité, l'Inde se cherche.
Cécile Couderc nous invite à prendre part à cette redécouverte.
En voyage dans plusieurs régions, elle se fait décrire l'Inde d'autrefois, raconte ellemême l'Inde d'aujourd'hui, et s'interroge avec ses habitants sur l'Inde de demain.
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Trésors du patrimoine végétal au Laos
Francois Engelmann
- Magellan & Cie
- Merveilles Du Monde
- 23 Octobre 2017
- 9782350744483
Beaucoup de visiteurs à Luang Prabang sont émerveillés par la beauté et l'abondance de la végétation dans cette petite ville classée au patrimoine mondial de l'humanité par l'UNESCO en 1995, à la fois pour son architecture et pour son environnement naturel. En revanche, beaucoup de ces fleurs et de ces arbres leur sont inconnus. Grâce à ce guide, ils pourront en identifier plus de cent quatre-vingts et comprendre leur histoire, la place et le rôle qu'ils jouent dans la vie de Luang Prabang.
Ce livre d'ethnobotanique est un guide du paysage culturel végétal de la ville. II devrait contribuer aux efforts de préservation de ces trésors fragiles et à la protection de l'environnement naturel urbain très particulier de ce site. Visiteurs, habitants de Luang Prabang, autorités locales en charge de la gestion des espaces verts et des plantations, ayant une meilleure connaissance des plantes de la ville, les aimeront et les protégeront mieux.
Chaque plante présentée dans ce livre est illustrée par une ou plusieurs photos. et fait l'objet d'une brève description complétée par des informations sur son origine et son histoire, ses différents noms, son importance culturelle et sur les lieux où on peut la rencontrer à Luang Prabang. Beaucoup de ces informations seront utiles aussi aux voyageurs visitant les pays voisins du Laos : Cambodge,Thaïlande, Viêtnam, Birmanie, province chinoise du Yunnan.
Le Muséum national d'Histoire naturelle de Paris (Phanérogamie, Herbier, Flore du Cambodge, du Laos et du Viêtnam) a accepté de superviser la partie scientifique de ce travail.
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lieu mythique, bénarès est la quintessence de ce monde indien oú se mélangent les religions, les couleurs, les parfums, les lumières, la spiritualité, le fleuve sacré, la mort, la renaissance, l'espoir et la fatalité.
le photographe olivier ploton restitue l'incomparable atmosphère de la ville sainte. ses superbes images retravaillées avec peinture, brou de noix et gomme illustrent les écrits des grands auteurs qui se sont succédés ici : pierre loti, andre malraux, ella maillart, gandhi, rudyard kipling, rabindranath tagore, henri michaux.
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Sur les routes de l'Inde
Didier Sandman
- Magellan & Cie
- Je Est Ailleurs
- 7 Septembre 2012
- 9782350742366
L'Inde a hérité d'une histoire fascinante, de traditions et de croyances multiples. C'est le foyer d'une des civilisations les plus anciennes, marquée par les peuples qui l'ont traversé, par les milliers de dieux et de langues qui l'habitent, et par son très complexe système social et politique.
Ce livre propose une autre façon d'appréhender ce voyage à nul autre pareil, entre découverte et histoire. Il ne présente pas l'Inde des éléphants, des palais de maharadjhs, des temples et du Taj Mahal. Il parle aux sens, aux émotions, qui permettent de saisir chaque instant de l'atmosphère du pays. Au fil des pages, l'auteur nous emmène sur la route des Indes et fait jaillir un « souvenir intense » du voyageur. Ce livre suggère l'idée qu'il est encore possible, même au XXIe siècle, de vivre sa propre aventure dans un pays exceptionnel, l'Inde, car on n'y fait pas un voyage, mais plusieurs.
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Les tribulations des carnettistes en Chine
Collectif
- Magellan & Cie
- Coups De Crayon
- 31 Décembre 1999
- 9782350742205
10 Artistes sont allés à XI'AN en aout 2010, ils seraient heureux de vous présenter : "Gratte-ciel et Soupe de nouilles" le dernier prochain ouvrage des CARNETTISTES TRIBULANTS édité chez Magellan !
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